Chers lecteurs, chers amis.
J'ai le plaisir de vous annoncer que je vais bientôt être édité par les Editions Maïa (Paris) pour un roman qui me tient à cœur, un thriller ésotérique :
« Systorius. L’énigme de la Rose Noire. »
Il s’agit de mon troisième roman, après Virgine ou la ville dessous la terre, et Le ballet des Parangons... Après plusieurs années de recherches et d’écriture voilà enfin le livre bouclé.
Une campagne de pré-commandes et de promotion est lancée sur le site :
https://www.simply-crowd.com/produit/systorius-lenigme-de-la-rose-noire/
SYSTORIUS. L'énigme de la Rose Noire. - Simply Crowd
Ancien libraire, spécialisé dans le " livre rare ", je suis passionné de littérature ésotérique et de textes à clé. J'ai publié deux romans et plusieurs ouvrages concernant les arcanes...
https://www.simply-crowd.com/produit/systorius-lenigme-de-la-rose-noire/
Indications pour suivre ma page de campagne éditoriale.
Je vous invite à vous joindre à moi dans cette nouvelle aventure et à laisser votre empreinte dans mon livre. Vous découvrirez un résumé, un extrait du roman et mes motivations sur la page de ma campagne.
Un grand merci par avance pour votre appui et les partages autour de vous.
Vous pouvez me rejoindre sur ma page twitter : @FrancoisBaget
François Baget, le bibliophile Heurtebise.
Quelques informations pour découvrir l’univers de Systorius. L’énigme de la Rose Noire.
Sonia Roëlland se voit confier au décès de son père, lors de la succession notariée, un livre ancien datant de 1490 : Systorius atque secreta silentii. Elle demande alors une expertise à un libraire parisien, la librairie Dussare. Si ce n’est pas exactement le hasard qui réunit ce libraire et Polina Grancher-Yvoire, génie de l’informatique et ancienne hackeuse, c’est une chance, car cette complice va très vite s’imposer comme le meilleur atout pour élucider cette affaire compliquée... Perplexe, Sonia désire de son côté mener elle-même une enquête sur cet incunable. Ses pas la portent à Prague où elle pourra interroger le service des Archives patrimoniales. Aidé par un bibliothécaire d’origine russe au passé trouble, elle comprend qu’elle est le jouet d’une machination ésotérique.
Mais cela n’est que l’aperçu d’une histoire plus compliquée qu’il n’y parait... Une société secrète, la Rose Noire, désire retrouver ce livre prétendant en être le propriétaire. Mais elle loin d’imaginer qu’un élément important de son contenu a disparu... Ainsi une course-poursuite va s’opérer plongeant Sonia dans une histoire aux péripéties particulièrement tragiques.
Le mensonge, la trahison, l’hypocrisie des personnages sont les ressorts de ce roman addictif, aux rebondissements inattendus...
Systorius est un roman dystopique, mais pas uniquement. Si on regarde bien le déroulement de l’intrigue, au demeurant classique avec alternance des lieux, des personnages et des évènements, on percevra l’enchevêtrement des nombreux protagonistes qui ont tous le même destin : la chute existentielle de leur vie qui remet en question leur certitude. Le roman n’est pas daté, mais laisse supposer qu’il se déroule à la charnière du XXe et du XXIe siècle. Les personnages évoluent en binôme tout en masquant leur véritable intention, ce qui amène un comportement paranoïde où le soupçon devient particulièrement aigu dans certains chapitres. Le Systorius, livre totem est un concept rituel défini comme un élément clé de la narration : sa finalité, sa symbolique, sa recherche, voire sa quête évoque la difficulté de la perception humaine face à l’entendement du monde. Enfin, en deuxième partie du roman, l’écrivain Niels Alvor bâtit son dernier ouvrage comme un « miroir non objectif » en réponse au Systorius : un roman dans le roman. Son récit malgré tout est voué à l’échec. Idem pour le biographe de la Rose Noire, Patrick Czerny, dont le travail est contesté et sans valeur historique. Bref, Systorius est un roman complexe ou s’imbrique des éléments narratifs perçus par le lecteur « comme vraisemblables » mais cette perception de la réalité du roman n’augure-t-elle pas l’incipit du livre « chaque société finit par engendrer son Dante » ?