Le Colonel Chabert, le livre et le film...
Balzac.
« Le Colonel Chabert ».
Paris. Calmann-Lévy. 1886. in 12 broché à grandes marges de 174 pages. Format : 19 X 18cm. Exemplaire numéroté sur papier Japon : 1/50 exemplaires (N° 25). In fine, un index des personnages et leur rôle dans le roman. Dos fragile ; ouvrage recouvert de papier cristal.
Ouvrage référencé HE à la librairie Heurtebise.
Le Colonel Chabert est un roman d’Honoré de Balzac qui paraît sous sa forme définitive en 1844, une première version du texte ayant paru en 1832 (sous le titre « la Transaction » dans la revue l'Artiste). Il sera de nouveau publié en feuilleton dans le supplément littéraire du Constitutionnel en 1847.
Il entre dans les Scènes de la vie privée de la Comédie humaine dont il est un des principaux romans.
Le colonel Chabert, en tant que tel, est une parenthèse émouvante dans la galerie de portraits balzaciens, un hommage rendu aux grognards de Napoléon Ier.
Maître Derville, qui reçoit le colonel Chabert et accepte de le défendre, est un avoué important dans la Comédie humaine. On le retrouve dans Une ténébreuse affaire où il succède à Maitre Bordin et où le comte Henri de Marsay meurt dans de mystérieuses circonstances.
Maître Derville est aussi l’avoué de la femme de Chabert, ce qui explique son insistance à éviter un procès et à proposer une transaction. Il acquiert dans Gobseck une grande réputation par la manière dont il rétablit la fortune de la vicomtesse de Grandlieu. C’est aussi l’avoué du père Goriot et l’exécuteur testamentaire de Jean-Esther van Gobseck pour sa nièce Esther Gobseck dans Splendeurs et misères des courtisanes.
Source : Wikipédia.
Le Colonel Chabert, film d’Yves Angelo. 1994.
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