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Depuis plus de vingt ans, le club des Croqueurs de Chocolat célèbre le culte de cette divine gourmandise et recense pour nous les meilleurs chocolatiers à travers toute la France. Son jury a goûté, sélectionné et récompensé ce qui fait de mieux en matière de chocolat, selon des critères très précis : teneur en cacao, onctuosité, longueur en bouche… Que vous soyez passionné, à l’instar des membres du Club – parmi lesquels Sonia Rykiel, Irène Frain, Julie Andrieu ou Jacques Pessis (*) – ou amateur occasionnel, vous trouverez dans ce guide près de 200 adresses, des célèbres maisons parisiennes, aux artisans talentueux de nos régions, mais aussi une initiation aux subtilités chocolatières, un classement des meilleurs chocolatiers et des grandes marques de tablettes, ainsi que des recettes proposées par les Chefs pâtissiers de restaurants prestigieux…
« Le guide club des croqueurs de chocolat ». Préface de Jacques Pessis. Editions Michel Lafon. 2003. In 12 cartonné à couvertures souples de 259 pages. Avec des textes de Sonia Rykiel, Irène Frain et Julie Andrieu. Liste des chocolatiers et de leurs spécialités. Plusieurs recettes présentées. Bon état.
Ouvrage mis en vente et référencé HE-18197 à la Librairie Heurtebise.
- 1ère de couverture -
(*) Jacques Pessis, est Président du Club des Croqueurs de Chocolat… Jacques Pessis a été pendant longtemps le collaborateur de Philippe Bouvard à la radio RTL. Il travaille pour de nombreux journaux de la presse écrite (Le Figaro, où il est l'échotier vedette de la « vie parisienne », Le Point, etc.), Il est le créateur de nombreux spectacles au théâtre et au music-hall, et l'auteur de plusieurs biographies et spectacles, en particulier dans l'univers de la chanson française (Édith Piaf, Charles Trenet, Joséphine Baker, Pierre Dac, etc…)
En Europe, la coutume trouve ses racines dans la fête de Pâques qui commémore la résurrection de Jésus Christ. Le dimanche de Pâques marque la fin du carême. Cette période de jeun autrefois très respectée, interdisait, entre autres, aux fidèles de manger des œufs. A la fin des 40 jours de privation, les fidèles s’offraient la production accumulée des poules. Une information qu'Élisabeth de Contenson, auteure du chocolat et son histoire, précise. "On retrouve des traces de cette coutume au XVe siècle, en Alsace. Il s'agit alors d'œufs de poule, que l'on peint et que l'on décore, et qui sont destinés à être mangés. Elle se répand peu à peu et, aux XVIIe et XVIIIe siècles, il devient de bon ton, notamment dans les cours princières, d'offrir des œufs richement ornés, contenant parfois une surprise…" Et le chocolat dans tout ça? «On ignore la date exacte à laquelle l'on a eu l'idée de percer les œufs d'un côté, pour les vider et les remplir de chocolat. Sans doute au XVIIIe siècle, mais c'est au XIXe siècle que l'on commence à voir apparaître les œufs tout en chocolat, notamment, à partir des années 1830, grâce au développement des techniques de travail de la pâte de cacao (dont les progrès sont considérables) et surtout grâce à l'apparition et à la diversification des moules (en cuivre ou en fer étamé), qui permettent d'obtenir des formes en chocolat de plus en plus variées», raconte Elisabeth de Contenson. Ces années précédentes, les Français ont respecté cette coutume récente puisqu’ils ont ingurgité 13.400 tonnes de chocolat à Pâques !
(Source : O. Vignaud)
Alors, passez de bonnes et joyeuses fêtes de Pâques !
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