Un « arbre généalogique » est une représentation graphique de la généalogie ascendante ou descendante d'un individu, dit de cujus (celui sur lequel porte la généalogie). Par usage, cette représentation structurée des liens familiaux entre les personnes est souvent appelée « arbre » à l'image de l'arbre végétal mais il existe également d'autres représentations par exemple circulaire ou semi-circulaire.
La librairie propose cet ouvrage qui donne un éclairage intéressant sur la conception d’un « arbre généalogique » et d’une explication des noms de famille les plus répandus en France…
Yann Delacôte et Frédéric Delacourt : Le livre de notre histoire. Généalogie et noms de famille. Pour découvrir l'origine de sa famille. Editions de Vecchi. 2001. in 8 cartonné de 285 pages. Quelques illustrations et schémas explicatifs. Avec plus de 2500 patronymes répertoriés. Biblio et important index. Etat neuf. "Un outil intéressant pour la recherche généalogique".
Ouvrage mis en vente et référencé HE 12879 à la librairie Heurtebise.
Arbre généalogique publié par Michel Eyzinger dans « Thesaurus principum hac aetate in Europa viventium » à Cologne en 1590, p. 146–147, mettant en individu racine Henri III de France. Eyzinger est à l'origine de la numérotation de Sosa-Stradonitz.
(La numérotation de Sosa-Stradonitz est une méthode de numérotation des individus utilisée en généalogie permettant d'identifier par un numéro unique chaque ancêtre dans une généalogie ascendante. Elle fut mise au point par le franciscain et généalogiste Jérôme de Sosa en 1676 dans son ouvrage Noticia de la gran casa de los marqueses de Villafranca, reprenant en cela la méthode publiée à Cologne en 1590 par Michel Eyzinger qui avait déjà utilisé ce système de numérotation). Source : Wikipédia.
« Celui qui ne sait pas d'où il vient ne peut savoir où il va car il ne sait pas où il est. En ce sens, le passé est la rampe de lancement vers l'avenir. » - L'archiduc Otto d'Habsbourg-Lorraine